reprise en main d'un vilain garnement: 2014

14h10, je sirote tranquillement mon coca devant cette étendue d’eau tranquille et sereine contrairement à moi. En effet, Dans quelques minutes, j’ai rendez-vous avec Mademoiselle Lylye pour une fessée mémorable, fessée qu’elle me promet avec Madame depuis plusieurs jours. Et ce n’est pas les sms très inquiétants de chipinette qui sont fait pour me rassurer. En plus cette chipie en puissance me parle d’une surprise et moi les surprises de chipinette et bien c’est comme les surprises de mes fesseuses : JE LES DETESTE car en général ce n’est pas bon pour mon matricule !!!

La sonnerie du téléphone retentit :

- Salut, ben tu es où ?

- Bonjour Mademoiselle, je sirote un coca à l’aire de loisir en vous attendant

- Je suis arrivée sur le parking, dépêche car j’ai les mains qui me démangent

- Oui oui j’arrive

Je monte dans ma voiture avec une boule au ventre, et il ne me faut pas plus de 5 minutes pour gagner le lieu de rendez-vous. J’arrive et j’aperçois Mademoiselle qui me voie à son tour et me fait un grand sourire. Je descends et nous nous embrassons chaleureusement, une forte complicité se sent entre nous mais Madame Lady me manque aussi dans ces moments là. J’aurais tellement aimé qu’elle ait pu se libérer pour être présente avec nous. Apres quelques mots échangés et une première rigolade nous prenons la direction du domicile de Mademoiselle.

Arrivé dans l’appartement, Mademoiselle m’envoie de suite me changer. En passant devant la table du salon j’aperçois les instruments qui semblent me sourire et se moquer en me disant : « tu vas voir tes fesses, on va bien les rougir »

J’entre dans la chambre d’amis mais je prends mon temps pour mettre ma tenue de chenapan. Je savoure ce moment de calme où mes fesses sont encore froides et insensibles. Je prends mes instruments, mes cahiers de punitions et de lignes. Je respire un grand coup, la boule au ventre plus présente que jamais et entre dans le salon sous le regard souriant de Mademoiselle.

Apres un café, Mademoiselle m’annonce que l’on va commencer mais avant elle a un petit cadeau pour moi. Elle revient avec une bouée à l’effigie de Franklin que je dois gonfler car elle va me servir à la fin de ma fessée quand j’aurais les fesses bien cramoisies. Je trouve cette idée sympa mais Mademoiselle m’annonce avec un grand sourire qu’elle aura deux autres surprises que je vais adorer : une de Madame pour que l’on pense à elle et une de chipinette pour me faire attendre sa fessée.

Apres quelques minutes pour bien relire mon cahier de punition, Mademoiselle Lylye m’annonce que nous allons commencer par 15 minutes de martinet. Je ne dis rien mais cela se bouscule dans ma tête : D’habitude on commence par une fessée à la main mais la non !!!!!!!!!! Direct le martinet. Aie aie aie la fessée va être terrible je sens mais je mérite !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!

Je me dirige avec elle vers le canapé et prends place sur l’accoudoir, les fesses bien présentées pour recevoir la visite de Monsieur le martinet accompagné de ses charmantes lanières en cuir. Les premiers coups sont supportables, mes fesses étant encore protégées par mon bermuda et par mon slip en coton blanc que je déteste tant d’habitude mais bizarrement là je l’adore. Mais cette situation ne dure pas et Mademoiselle me donne l’ordre de baisser ce bermuda pout que ça claque mieux. Je m’exécute doucement en lui jetant un regard triste mais rien y fait : ON BAISSE LE BERMUDA POUR QUE CA CLAQUE. Les coups pleuvent sur les fesses que le slip de gamin protège encore mais par contre les cuisses elles n’ont plus de protections et les lanières mordent avec plaisir ces cuisses et ces fesses qui n’ont pas été sage. Aie aie aie ça brule, ça chauffe et Mademoiselle met du cœur à l’ouvrage. Je commence à sentir les effets et ce n’est que le début : je suis malllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllll !!!!!

Puis le silence, et d’un coup je sens les doigts de Mademoiselle dans la couture du slip et hop : on baisse lentement culotte, au revoir petit slip, la prochaine fois que tu retrouveras mes fesses, elles seront cramoisies, remarquez cela ressortira bien avec sa couleur blanche.

La punition se termine par une série de coups très claquants sur les fesses qui me chauffent et que je devine déjà bien rouge. Apres un dernier coup bien appuyé je suis envoyé 5 min au coin pour me calmer et réfléchir à mes fautes. Là je me tiens tranquille car je sais que l’après-midi va être longue et je n’ai pas envie de prendre du rab !!

Les 5 minutes terminées, Mademoiselle m’appelle pour la seconde punition : Pour avoir osez dire sur skype que mes punitions seraient divisées par 10 je vais avoir droit à une fessée magistrale à la brosse à cheveux. Mademoiselle me demande de lui donner la brosse, LA GROSSE BROSSE bien sûr, celle qui claque le plus fort grrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrr. Elle s’assoie et tend la main d’un sourire narquois sniff. Je lui donne cet instrument que je redoute et que je déteste et m’installe en travers de ses cuisses. Apres quelques caresses le premier coup tombe : CLAC , aieeeeeeeeeee houlalala ça pique. Ce premier coup est suivi d’autres tout aussi marquants. Mademoiselle et Miss brosse font un travail parfait et pas un centimètre carrée des fesses ou des cuisses n’échappe à la visite chaude et claquante de ce duo de choc. Les résultats se font vite sentir et c’est un concert de aie ouillle stop pitié qui résonne dans le salon.

Je tente de m’échapper des genoux de Mademoiselle mais quelle erreur : Elle me coince les cuisses entre les siennes, je ne peux plus bouger et c’est maintenant une paire de fesses rouge cerise qui est dans la meilleure des positions pour elle : les fesses bien tendues et bien cambrés et surtout qui appellent la claquée de miss brosse. Mademoiselle Lylye n’en demandait pas tant et se charge de régaler son chenapan adoré d’une pluie de coups. La fin de la punition est terrible.

C’est en trottinant et en me frottant les fesses qui je file au coin pour 5 min de repos. J’ai le visage rouge, les fesses en feu et mon esprit perdu dans cette valse de claques cinglantes. Je tente de toucher mes fesses pour savoir l’étendue des dégâts mais Mademoiselle me rappelle à l’ordre et me demande de venir m’assoir.

Je pense à une bonne pause et peut être de la crème mais que nenni. Mademoiselle m’annonce que l’on va passer à la surprise de Madame Lady : une dictée, mais non THE DICTEE. Cette dictée de Prosper Mérimée est juste un supplice pour moi. Vu mon niveau de français et surtout mon absence de progrès, Madame a choisi ce texte pour que cela me serve de leçon. Apres correction pas moins de 27 fautes ont été trouvées par Mademoiselle Lylye ce qui me vaut de suite 54 grosses claques sur mes fesses.

Elle s’installe et tapote ses cuisses avec un grand sourire pour m’indiquer le chemin, grrrr que je déteste cela mais pas le choix. Je m’installe et Mademoiselle m’indique que je dois compter les coups et bien penser à Madame Lady que j’adore pendant cette punition. Elle me dit qu’elle va claquer les fesses très fort pour lui rendre hommage. Elle me caresse doucement les globes puis CLACCCCCC une première claque tombe sur mes fesses : AIE un merci Mademoiselle.

- Dit donc Sébastien, rappelle-moi en l’honneur de qui tu reçois cette boooooooonne fessée ?

- Heu c’est pour la dictée de Madame Lady

- Oui c’est bien mon grand, donc ce n’est pas merci Mademoiselle mais merci Madame et Mademoiselle

La fessée reprend, CLACCC , aieee un merci Madame et Mademoiselle , CLACCCCCC ouch deux merci Madame et Mademoiselle..... Mes fesses qui avaient refroidies avec cette pause dictée reprennent une température digne de ce nom. Les claques très fortes de Mademoiselle n’épargnent ni mes pauvres globes rougis ni mesdames les cuisses qui pourtant n’ont rien demandées. CLACCC aie aie pitié je serais sage 37 merci Madame et Mademoiselle. La fessée prend un tour magistrale, je bats des jambes dans le vide, supplie, implore mais rien y fait : Mademoiselle garde un rythme soutenu et corrige avec application son chenapan.

Quel plaisir pour une fesseuse comme elle de voir son grand en travers de ses cuisses, les fesses écarlates, gigotant comme un petit garçon, la suppliant d’arrêter et qui la remercie à chaque grosse claque qui tombe sur ce fessier joufflue et brulant. Oui c’est sûr c’est un régal mais aussi un constat : il mérite !!!! Une dernière grosse claque et voilà c’est le silence.

Une petite claque sur les cuisses me donne le signal, je me lève, frotte mes fesses brulantes et douloureuse et file au coin sans demander mon reste. Je sautille sur place car je ressens la brulure de cette sévère fessée. Mademoiselle m’avait promis une grosse punition, elle avait bien raison et ce n’est pas finit, le maitre des lieux qui va devenir mon meilleur ami d’après Mademoiselle n’est pas encore apparut : LE GRAND PADDLE EN BOIS VERNIS. J’appréhende..............

Mademoiselle me signifie la fin du coin et la suite des réjouissances. Elle regarde mes fesses et m’annonce que nous allons maintenant passer aux choses sérieuses et à la promesse qu’elle m’a faite. J’écarquille les yeux, quoi ????? Mais on fait quoi la, on enfile des perles .... Et puis c’est quoi cette promesse. Devant mon incompréhension elle s’explique :

- Mais oui mon grand garçon je t’avais promis quoi ? et bien c’était les fesses CRAMOISIIIIIIES

- Ho non pas ça je vous en prie

- Si si siiiiiiiiiiiii ce soir mon chenapan va s’assoir sur sa jolie bouée et va faire un gros dodo sur le ventre

- Nonnnnn

- Allez viens là

Elle se saisie du paddle en bois et me positionne sur l’accoudoir du canapé. Elle en profite pour me baisser le slip aux chevilles, me demande si je suis prêt. Je lui annonce que oui et Mademoiselle me réponds que je dois de nouveau compter les coups et que je vais le sentir passer. Je retiens mon souffle, une grosse boule au ventre car je sais que cet instrument est terrible.

CLACKKKK un éclair de douleur agite mon postérieur, une brulure intense se fait sentir au point d’impact et se propage avec la vitesse de la lumière dans tout l’épiderme : aieeeee un Mademoiselle. CLACKKKK , CLACKKK, CLACK les coups sont sec et la chaleur dans mes fesses est insupportable. Au bout de 10 coups , je suis à la limite du mot de passe et c’est une chenapan très obéissant qui regagne son coin adoré pour 10 minutes de repos. Mademoiselle en profite pour m’annoncer que je serais fessée avec ce paddle à chaque grosse bêtise et qu’il serait bon que je réfléchisse à mes actes à l’avenir. Dans ma tête les idées se bousculent, le paddle est un instrument beaucoup plus marquant que ce que j’ai pu gouter jusqu’à présent. Mademoiselle tient là un moyen très sûr de me calmer. Je me touche les fesses qui sont brulantes et soupire en attendant la fin du coin.

Mademoiselle m’appelle pour le bouquet final : La surprise de chipinette. Elle m’annonce que je vais recevoir 20 coups de sa part et qu’après se sera terminé. Elle m’intime l’ordre de me mettre en position sur le canapé. Les 20 coups me sont donnés avec sévérité car je dois comprendre qu’il ne faut pas que je me moque de chipinette. CLACCCCCCCC un dernier coup et c’est fini. J’ai les fesses et les cuisses en feu et je ne peux presque pas m’assoir.

Mademoiselle saisie le tube de crème et m’invite à venir sur ses genoux. C’est mon instant préfère, moment où ma fesseuse montre une tendresse qui tranche avec la sévérité de la correction que je viens de recevoir. Elle étale la crème ce qui a pour effet de calmer l’insupportable brulure. Une impression de fraicheur envahie mes fesses et mes cuisses et je voudrais que cet instant dure des heures mais une petite claque me rappelle que c’est finit.

Je vais me changer et à mon retour j’ai le malheur de tirer la langue à Mademoiselle. Celle-ci n’hésite pas une seconde et avant que je n’ai eu le temps d’esquisser un geste, elle me positionne sous son bras, me baisse direct le pantalon et le slip et me flanque une fessée d’un autre monde.

Je tente avec ma main de remonter mon slip et de me protéger mais Mademoiselle la saisie pour la placer dans mon dos. Pendant 3 ou 4 minutes une pluie de claques s’abat avec force quand tout d’un coup le mot magique surgit : LAPIN BLEU !

Mademoiselle Lylye stoppe instantanément et je m’effondre sur le canapé, me frottant furieusement les fesses dans l’espoir vain de dissiper cette horrible brulure. Je suis calmé et je n’ai plus envie d’embêter ma fesseuse ni de la provoquer.

Mademoiselle a le sourire et moi aussi malgré la sensation de brulure et les difficultés pour m’assoir mais pas de soucis : j’ai ma bouée !! Nous regardons rapidement le film et effectivement les fesses sont bien cramoisies. Nous échangeons nos impressions et je sors plus que radieux de cette fessée car je suis pardonné de mes fautes et j’ai passé un super moment. Le seul point noir a été l’absence de Madame Lady qui m’a bien manqué car c’est ma seconde fesseuse et je l’adore malgré sa sévérité.